Deuxième vie pour ce Saint Martin rouge (bois de grande qualité), suite à un abattage justifié par une cavité basale (aggravée par des feux allumés à l’intérieur…) et un site public fréquenté (Crique Canceler, Sinnamary, Conservatoire du Littoral).





Deuxième vie pour ce Saint Martin rouge (bois de grande qualité), suite à un abattage justifié par une cavité basale (aggravée par des feux allumés à l’intérieur…) et un site public fréquenté (Crique Canceler, Sinnamary, Conservatoire du Littoral).
Le métier d’Arboriste comprend une volonté de prendre des décisions étant « les moins pires pour les arbres » et les plus satisfaisantes pour l’homme… entraînant régulièrement de cocasses réflexions… Ce qui ne concerne pas les « élagueurs » (élaguer=couper une branche) qui prennent facilement des raccourcis au détriment du développement durable et au profit de leur porte-monnaie…
Cela dit, si on laisse les arbres pousser n’importe où et n’importe comment, il faudra alors réviser la position de l’homme dans la chaîne vivante…
Bref, « aucune taille ne profite à l’arbre » mais une « taille raisonnée » participe au soin que l’homme peut porter à la pérennité de l’arbre, dans la mesure du possible… et quand il s’agit d’abattre, démonter, supprimer, il ne coûte rien de s’interroger sur de nouvelles plantations plus adaptées et mieux maîtrisées…
Samuel.
Le terme « élagage » désigne l’action de couper une branche. L’élagage à l’origine, c’est supprimer les branches basses dans un peuplement forestier d’exploitation de manière à façonner des troncs longilignes et sans nœuds.
Aujourd’hui, il ne s’agit pas simplement de couper des branches, mais surtout de bien raisonner l’intervention au cas par cas, de manière à ce que l’arbre et l’homme cohabitent harmonieusement, quand il en est encore temps.
Biologie, reconnaissance de l’arbre, choix du type de taille, de l’époque, bon sens… C’est le principe de la taille raisonnée.
Samuel.